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ANTI VACCIN : IL MEURT DU COVID EN QUELQUES JOURS

<Reprise d’un article de RBTF> « J’espère que c’est le Covid« . Dans plusieurs vidéos retrouvées par le journal Evening Standard, l’avocat solliciteur britannique Leslie Lawrenson se filmait à son domicile de Bournemouth en juin dernier, décrivant les symptômes respiratoires qu’il était en train de vivre. « Je me sens assez mal, j’ai une très forte température, j’ai des douleurs et des frissons, et froid aux extrémités« , raconte-t-il dans la vidéo, diffusée sur Facebook. Des symptômes qui faisaient craindre une contamination au Covid-19. Une perspective réjouissante selon lui : « J’espère que c’est le Covid, parce que je préférerais avoir des anticorps que me prendre le vaccin. »

En effet, Leslie Lawrenson, diplômé de Cambridge, était anti-vaccin et le faisait savoir sur les réseaux sociaux. « Les dangers potentiels d’un vaccin expérimental, pour moi, ne valent pas le risque« , affirmait-il. Quant au Covid-19, l’avocat, se basant sur sa propre expérience, explique dans la vidéo que c’est « exactement comme un rhume, peut-être un peu plus fort.« 

Le lendemain, pourtant, Leslie Lawrenson n’en mène pas large. « La nuit dernière a été assez horrible, reconnaissait-il. Les symptômes que j’avais se sont massivement étendus. Je ne sais combien de temps j’ai passé, peut-être six heures, en position fœtale, à essayer de bloquer la douleur. » Mais là encore, ce constat n’inquiète pas plus que ça l’avocat. « Ce sont des choses que nous devons souffrir, cela fait partie de la vie« , assurait-il. Vous devez faire confiance à votre système immunitaire« , ajoutait-il, afin de ne pas « vivre dans la peur » et « créer un épouvantail » à partir de « quelque chose que 99,9% d’entre nous ne doivent pas craindre. »

« Les gens ont des rhumes, des grippes, les gens les endurent et la vie continue », conclue Leslie Lawrenson. Pourtant, sa vie à lui s’est arrêtée : neuf jours après sa dernière vidéo, l’avocat est décédé à son domicile des suites du Covid-19. « Je n’étais pas encore au point de me faire hospitaliser« , clamait-il. A l’inverse, sa compagne Amanda Mitchell, également positive au Covid-19, regrette qu’il soit « mort en vain ». « Les [lie] a fait une terrible erreur et a payé le prix ultime pour ça », témoigne-t-elle à l’Evening Standard.

COVID : L’INCONSCIENCE CALÉDONIENNE

Protégés par une bulle sanitaire qui se révèle, partout dans le monde, poreuse au Covid-19 ayant muté et désormais connu sous le nom de « variant Delta », deux tiers de la population calédonienne se trouvent actuellement exposés à un risque d’infection.
Compte tenu du mauvais état de santé d’une bonne partie des habitants de l’archipel, ce risque, s’il advenait que le virus circule un jour dans la population, se traduirait par un nombre important de séquelles graves et de morts parmi les contaminés.
Le risque de transmission exponentielle de la maladie -10.000 malades en moins de 3 mois selon une étude récente- conduirait évidemment à la saturation rapide des lits de réanimation du Médipôle et à une quasi-paralysie de notre économie. Une catastrophe presqu’annoncée.

OR, LES CALÉDONIENS ONT À LEUR DISPOSITION LE MEILLEUR VACCIN ANTI-COVID QUE LA FRANCE LEUR FOURNIT GRATUITEMENT.

Dans les pays d’Afrique, d’Asie, d’Amérique du Sud, du Pacifique, des populations entières prient pour pouvoir être vaccinées contre ce fléau de l’après guerre. Les vaccins, qui leur sont parfois fournis au compte goutte par l’aide internationale, n’ont souvent qu’une efficacité moindre que le Pfizer disponible chez nous.

QUELLES QUE SOIENT LES ALÉAS TECHNIQUES ET JURIDIQUES DE NOTRE « SAS » SANITAIRE, ON SAIT QUE LE VARIANT DELTA POURRA SURMONTER LES OBSTACLES ET FINALEMENT ÊTRE INTRODUIT. LA SEULE FAÇON DE SE PROTÉGER N’EST PLUS DE RENFORCER LE « SAS », C’EST DE SE FAIRE VACCINER.

En cas de catastrophe sanitaire, à l’instar de ce qui se passe en Polynésie et aux Antilles, il va de soi que l’économie s’effondrerait. Cela n’aurait rien à voir avec la crise provoquée par des voyageurs infectés, en provenance de Wallis.

Dans un contexte déjà morose, l’activité des entreprises et les finances publiques subiraient une sorte de coup de grâce.

Ces perspectives semblent-elles exagérées, pessimistes, alarmistes ?

C’est ce que se disaient les Antillais et les Polynésiens …

COVID : LE VACCIN PFIZER EFFICACE CONTRE LE VARIANT INDIEN

Des nouvelles rassurantes nous viennent du Royaume Uni, concernant à la fois le vaccin Pfizer dont bénéficient les Calédoniens, et l’Astrazeneca, conçu en Angleterre et dont l’Australie est largement approvisionnée. Le ministre de la Santé britannique, Matt Hancock, a fait état lundi de nouvelles données qui accréditent l’idée que le schéma vaccinal à deux doses permet bien d’éviter les formes graves.

Selon un étude parue le 23 mai du Public Health England (PHE), une des autorités de santé en Angleterre, le vaccin Pfizer-BioNTech serait efficace à 88% contre la maladie symptomatique du variant indien deux semaines après la deuxième dose, comparé à 93% d’efficacité contre le variant anglais. Sur la même période, le sérum d’AstraZeneca est efficace à 60%, contre 66% contre le variant anglais.

Alors que la campagne de vaccination semble marque le pas en Nouvelle Calédonie, il est important qu’un regain se produise, personne ne pouvant assurer que notre territoire demeurera éternellement « covid free ».

Une loterie à 100 millions CFP pour les vaccinés dans l’Ohio/USA !

C’est l’une des (nombreuses) différences entre la France et les USA. Nous, nous faisons de la pub à la télé, les Américains offrent désormais des récompenses aux personnes qui vont se faire vacciner. Chacun veut atteindre ses objectifs, mais les moyens mis en œuvre ne sont pas les mêmes …

Ainsi, dans l’Ohio, le gouverneur de l’Etat a annoncé mercredi la création d’une loterie pour les personnes ayant reçu une injection, avec 1 million de dollars à la clé, soit un centaine de millions de francs CFP ! Pour espérer remporter la cagnotte, les participants devront avoir plus de 18 ans, habiter dans l’Ohio, et avoir reçu au moins une dose d’un vaccin anti-Covid.

Le premier vainqueur sera annoncé le 26 mai. Ensuite, un nouveau gagnant sera tiré au sort « tous les mercredis pendant cinq semaines » et décrochera chaque fois la même somme, a précisé Mike DeWine. L’argent sera tiré de fonds fédéraux déjà existants, mis en place pour faire face à la pandémie.

Pour les moins de 17 ans, une loterie similaire permettra de recevoir une bourse complète de quatre ans dans l’une des Universités d’Etat de l’Ohio, un gain précieux dans un pays où l’éducation coûte fort cher.

LE PROTOCOLE DE SEPTAINE POUR L’ENTRÉE DES PERSONNES VACCINÉES

Le gouvernement a décidé la mise en place d’une quarantaine allégée pour les personnes vaccinées entrant en Nouvelle-Calédonie. Ces personnes réputées immunisées seront désormais soumises à 7 jours d’isolement en hôtel selon un protocole qui demeure très strict, afin de s’assurer de la non-circulation du virus à l’intérieur du territoire.

QUI PEUT BÉNÉFICIER DE LA SEPTAINE
Seules les personnes vaccinées avec les doses Pfizer/BioNtech et Moderna, 14 jours au moins avant leur arrivée peuvent être admises au régime de septaine.

QUE FAIRE AVANT SON DÉPART DE NOUVELLE-CALÉDONIE
« Avant son départ, le voyageur cochera la case «Vaccination COVID» sur le formulaire de recensement des personnes souhaitant venir en NC du gouvernement, complété 35 jours avant l’arrivée. »

Le voyageur peut, de sa propre initiative, réaliser un texte sérologique, mais ce test est facultatif.

QUE FAIRE AVANT SON RETOUR EN NOUVELLE-CALÉDONIE
Pour être admis en septaine, le voyageur devra présenter 1) un test PCR réalisé 72h au maximum avant son départ, 2) le certificat de vaccination, éventuellement accompagné du test sérologique évoqué ci-avant.

LES CONTRÔLES LIÉS À LA SEPTAINE
Pour tout voyageur admis en septaine,  une sérologie COVID-19 de contrôle sera pratiquée à l’arrivée ou dans les jours suivants et analysée au laboratoire du CHT.

Au cas où cette sérologie est douteuse, le voyageur est alors soumis au régime de quartorzaine.

LES CONTRÔLES DE SORTIE DE LA SEPTAINE
Le voyageur dont le test sérologique et le test PCR de sortie sont négatifs pourra quitter la septaine.

Le voyageur dont le test PCR de sortie est positif sera transféré à l’unité Covid du Médipôle.

L’AUTOCONTRÔLE APRÈS LA SORTIE
« En cas d’apparition de fièvre ou de symptôme dans les 7 jours qui suivront la sortie de quarantaine, la personne devra systématiquement informer le centre 15 qui contactera le médecin de la DASS qui décidera après étude de la situation de la conduite à tenir et des mesures de santé publique à mettre en place. »

VOYAGES : SEPTAINE POUR LES VACCINÉS

Avantage pour les personnes vaccinées qui voyagent : la quatorzaine imposée à l’entrée en Nouvelle-Calédonie sera réduite, pour elles, à 7 jours, une septaine. Mais pas pour tous les vaccinés : ces derniers devront justifier avoir reçu les deux doses du vaccin Pfizer/BioNtech ou du Moderna au minimum 14 jours avant leur arrivée. Ces vaccins uniquement.

Du point de vue administratif, ces personnes devront remplir un formulaire et fournir une copie du certificat de vaccination délivré à l’issue des injections.

Elles devront fournir un test PCR négatif réalisé moins de 72 heures avant le départ.

Elles seront soumises, lors de leur admission en hôtel de quarantaine, à un test PCR et un test sérologique, puis à leur sortie, à un nouveau test PCR.

En cas de résultat douteux, la personne sera soumise à quatorzaine et suivra le protocole déjà en place.

La Nouvelle-Calédonie ouvre ainsi ces facilités qui sont moins libérales qu’en Polynésie. Mais plus prudentes. Nos « cousins » du Pacifique  qui ont été vaccinés en Polynésie, -ce lieu de vaccination est une exigence- sont en effet dispensés de quarantaine et de suivi médical à l’issue de leur retour.

LE CONFINEMENT : C’EST FINI

Le gouvernement et l’Etat ont décidé conjointement de lever le confinement auquel les Calédoniens étaient soumis depuis un peu moins d’un mois. Ce retour à une vie presque normale est motivé par les bons résultats enregistrés après l’alerte du personnel infecté de Tontouta.

Toutes les activités sont libérées à l’exception des boîtes de nuit, et les rassemblements de plus de 50 personnes ne sont pas autorisés. Il faudra respecter les gestes barrières et le port du masque.

Les décisions du gouvernement :
De nouvelles mesures seront applicables du vendredi 2 au dimanche 11 avril inclus :

> Toutes les activités économiques, sociales et de loisirs peuvent reprendre, dans le respect des gestes barrière, du port du masque obligatoire, de la distanciation sociale et des recommandations sanitaires.

> L’attestation de déplacement est supprimée.

> Les grands rassemblements et les soirées festives sont interdits, les discothèques restent fermées.

> Toutes les activités professionnelles imposant un contact direct avec le public (esthétique, coiffure, tatouage, massage, etc.) disposeront de recommandations sanitaires dédiées.

> Les rassemblements en extérieur sont limités à 50 personnes. Les rassemblements en intérieur sont soumis à la tenue d’un registre obligatoire et à la mise à disposition de gel hydroalcoolique.

> Les établissements culturels, religieux, de tourisme, de loisirs, les centres aérés et les crèches peuvent rouvrir à condition de tenir un registre obligatoire et de mettre à disposition du gel hydroalcoolique.

> Les commerces de biens et de services, ainsi que les établissements culturels et de loisirs doivent fermer au plus tard à minuit.

> Toutes les activités nautiques peuvent reprendre, ainsi que la pêche et la chasse.

> Les sports extérieurs ne sont pas soumis au port du masque. Les sports en salle seront soumis à un protocole sanitaire strict et à la tenue d’un registre.

> Les transports en commun peuvent reprendre dans le respect des recommandations sanitaires.

> Les transports inter-îles et les vols internationaux reprendront prochainement.

> Les bars, restaurants et nakamals peuvent rouvrir (service à table, distance entre les tables, fermeture à minuit, tenue d’un registre obligatoire, etc.). Le personnel doit porter un masque.

> Les salles de spectacle doivent tenir un registre.

COVID : LE VARIANT BRETON N’EST PAS DÉTECTÉ AU TEST PCR

La direction générale de la santé a annoncé, le 15 mars dernier, avoir détecté un nouveau variant à l‘hôpital de Lannion (Côtes-d’Armor). Sa particularité et sa dangerosité résident dans le fait qu’il semble indétectable par les tests PCR classiques. Inquiétant.

PAS DE TRACES AU NIVEAU DU NEZ
En effet, la DGS rapporte que les personnes infectées « présentaient des symptômes typiques suggérant une infection par le SARS-CoV-2 mais un résultat de test PCR négatif sur des échantillons nasopharyngés, et pour lesquels le diagnostic a pu être fait par la sérologie ou la réalisation de RT-PCR sur des prélèvements respiratoires profonds ».

Ce variant breton n’a pas été détecté par les tests PCR nasopharyngés au CHU de Lannion. Non pas à cause de la méthode de test mais parce que « les patients n’en excrètent pas au niveau du nez » a expliqué le Pr Tattevin. Le virus n’était ainsi pas ou trop peu présent dans la muqueuse nasale des patients infectés.

EXPÉRIMENTATIONS
Sur les huit personnes porteuses du variant breton et qui sont décédées (sans qu’un lien avec le variant n’ait été confirmé par les autorités), sept n’étaient pas vaccinées mais une avait reçu la première dose de vaccin,  a confirmé l’ARS Bretagne vendredi 19 mars. Ces personnes étaient « assez âgées avec des facteurs de comorbidités » a indiqué le directeur de l’ARS Bretagne, « Des expérimentations vont avoir lieu afin de déterminer comment ce variant réagit à la vaccination et aux anticorps développés lors de précédentes infections » a indiqué la DGS.

PASTEUR LANCE UNE STRATÉGIE DE DIAGNOSTIC
De son côté, l’Institut Pasteur a lancé une stratégie de diagnostic concernant ce nouveau variant, dénommé « VUI dérivé de Clade 20C ».  

En particulier, sur les « cas probables », la détection virale se fait par prélèvement nasopharyngé, par prélèvement profond (expectoration induite ou crachat après toux), par écouvillon rectal ou prélèvement de selles en cas de signes digestifs.

Pour les « cas possibles », les deux premières opérations sont privilégiées.

PRUDENCE POUR LA CALÉDONIE
Si l’apparition de variants est un processus normal, fondé sur la mutation du génome du virus, certaines formes peuvent se révéler plus dangereuses ou contagieuses. À l’heure actuelle, trois variants dans le monde sont considérés comme préoccupants: ceux détectés en Angleterre, en Afrique du Sud et sur des voyageurs venus du Brésil. En Calédonie, seul le variant anglais a, pour l’instant, été détecté.

La dangerosité du variant Breton n’est pas avérée. Mais il reste que les 8 patients chez qui il a été identifié sont aujourd’hui décédés. « Mais on ne peut pas en tirer la conclusion qu’il y a un rapport direct de cause à effet« , a souligné le directeur de l’Agence régionale de santé en Bretagne.

Les investigations se poursuivent. Après le variant anglais, prions pour que le variant breton ne nous atteigne pas …

Aux Etats Unis, les vaccinés peuvent se réunir sans masque

Depuis le 8 mars dernier, les personnes vaccinées peuvent désormais se réunir entre elles par petits groupes en intérieur sans porter de masque et sans respecter la distanciation sociale. Mais pas d’excès d’excitation : c’est aux Etats Unis.

Elles peuvent également se réunir sans masque avec des personnes non vaccinées d’un seul autre foyer à la fois, si celles-ci ne présentent pas de facteurs de risque au Covid-19, a déclaré lors d’une conférence de presse Rochelle Walensky, la directrice des Centres américains de prévention et de lutte contre les maladies (CDC), principale agence fédérale de santé publique du pays.

Pour être éligible à cet allègement, une personne vaccinée est une personne ayant attendu deux semaines après avoir reçu les deux doses des vaccins de Pfizer/BioNTech.

CONFINEMENT : DIVERGENCES

La prolongation d’une semaine de confinement, malgré l’ouverture autorisée des commerces considérés jusqu’ici comme « non essentiels », ne fait pas l’unanimité. D’un côté, le président du gouvernement choisit d’imposer un confinement strict, de l’autre, des représentants de la province Sud auraient préféré un déconfinement partiel plus prononcé.

Dans un communiqué repris par Caledonia et Les Nouvelles, les responsables Loyalistes de la province Sud précisent leur désaccord : « Nous considérons que la situation sanitaire permet la réouverture de l’ensemble des secteurs de l’économie, du commerce, mais également des services à la personne avec le respect des gestes barrières. Il nous semblait tout à fait normal que les calédoniens soient de nouveaux autorisés à pratiquer les activités de pleine nature, comme la chasse et les activités nautiques. Nous considérons que les restaurateurs sont pleinement conscients des risques et peuvent exercer leur activité en ouvrant la moitié de leurs tables. »

Ces divergences concernent également le retour des étudiants, « pourquoi refuser le retour des étudiants calédoniens et au delà de tous les calédoniens bloqués à l’extérieur de la Calédonie une semaine de plus alors qu’ils auraient pu revenir dans les conditions habituelles de quatorzaine et que nos hôtels sont vides ? »

Il est vrai que la province Sud regroupe 75% de la population calédonienne, et que la quasi-totalité de l’économie y déploie son activité. Les acteurs économiques ainsi que des salariés ou patentés, sont pour certains au bout du rouleau, surtout après les trois mois de troubles liés à la reprise de l’usine du Sud.

Le risque zéro n’existant pas, l’interrogation centrale est : « comment vivre avec la Covid-19 ? ».

La vaccination est une des réponses, mais près d’une moitié de la population ne veut pas se faire vacciner. L’autre réponse est l’adaptation en tenant compte des avancées médicales et scientifiques, la vie durable … dans un bocal n’étant pas envisageable.