ROUTES : CHERCHEZ LA C… !

Ohé Matelots,

Connaissez-vous ce que la Calédoniens de Brousse et quelques uns de Nouméa appellent, disons familièrement, la c… à M… ? Me demandez pas c’est qui, à vous de trouver. Je vous mets sur la piste. Enfin, sur la route, si vous voulez bien.

Y a quelques décennies de cela, un gradé des TP est chargé du tracé de la route entre Bourail et Poya. Une route en terre, of corse, biscotte à l’époque la route en « coaltar  » américain s’arrête à Moindou. Après, c’est poussière et compagnie sur la route en terre et en caillasse. Brèfle, pour améliorer les choses, les TP refont l’ex-route coloniale qui mène à Poya. Un peu plus haut que Kalavéré, et avant Poya, y a une côte à négocier. Ce que fait M… en la dessinant pour que les engins la réalise. Bon, à sa décharge (si je peux dire, vu le sujet), y a pas tous les équipements d’aujourd’hui, je veux dire les ordinateurs, les calculateurs, et tout le saint Frusquin. Toujours zétil que la route et la côte dessinées, woila-t-y pas que quand il pleut, les camions peuvent pas grimper la côte. Trop raide, et les roues patinent sur la terre mouillée. Ça deviendra la C… à M…

Mais l’Histoire est un éternel recommencement. Qui sont les émules ? On a quelques exemple qui viennent à l’esprit. Une montée-descente, près de Païta, qui va devenir le chemin des escargots par temps de pluie, ou quand quelques poids lourds vont mener le train ? Ou encore les travaux à la sortie de Tomo où les gros camions … vont avoir du mal à se croiser ? Ce qui est d’ailleurs le cas sur les routes d’une zone industrielle de l’agglomération.

Allez Matelots, chauffez les méninges, et trouvez ces angoissantes réponses. Pour votre récompense, vous aurez peut être une « animelle » à la prochaine Fête du Boeuf.

L’Amiral du Port Despointes