En rejetant la motion préjudicielle des partis autonomistes, le Congrès a ouvert la voie à un calendrier d’aggravations fiscales dont l’objectif annoncé est un prélèvement de 43 milliards dans la poche des contribuables.
Selon le Medef, les effets collatéraux s’ajoutant au réformes envisagées font monter la facture fiscale à près de 100 milliards.
Le calendrier a été adopté sans que des indications supplémentaires aient été apportées sur l’impact des mesures listées, sur le pouvoir d’achat des ménages, l’équilibres des entreprises, et d’une manière générale, sur la consommation. Aucune indication, non plus, sur l’effet inflationniste inéluctable, à la fois sur le coût du travail et les coûts de production.
Responsable de la fiscalité au gouvernement, Gilbert Tyuienon a indiqué que plus de 40 réunions de concertation ont déjà été tenues. Beaucoup craignent que les mesures annoncées soient génératrices d’une nouvelle crise qui s’ajouterait à celle du covid, à la crise économique qui en est résultées, et à celle provoquée par l’explosion de l’inflation.