
Si la bataille psychologique fait rage en Nouvelle Calédonie, c’est à l’Onu que l’ambassadeur de Papouasie avait choisi de porter la demande de report du FLNKS. Or l’argument porté par le diplomate prend en compte essentiellement la situation sanitaire de notre territoire. Il invoque sa gravité, rendant impossible, selon lui, les opérations électorales.
L’Organisation des Nations Unies, et le fameux Comité des 24, ont ainsi les yeux rivés sur les indices calédoniens d’évolution de la pandémie. Si ces indices baissent suffisamment, les soutiens du FLNKS dans cette organisation que le général de Gaulle qualifiait de « machin », devront donc admettre que la demande de report n’aura alors plus lieu d’être.
Le gouvernement français, d’ailleurs, ne dit pas autre chose. Sébastien Lecornu et l’Honorable Max Hufanen Rai ont, pour cette fois, une analyse commune …