
Depuis les déclarations de Milkulo Tukumuli, les spéculations entourant l’élection et la formation du 17e gouvernement vont bon train. Le président de l’Eveil Océanien a, en effet, annoncé que son parti favoriserait l’élection d’un non indépendantiste à la présidence du Congrès. Pourrait-il être question, dans ce cas, d’une démission d’un élu de l’UC susceptible de « faire monter » Vaimua Muliava, resté au pied du podium en raison de la voix du Parti Travailliste apportée à l’UNI ?
Y aurait-il une conjonction entre la présidence du Congrès à renouveler, et l’éventuelle intégration de l’élu de l’Eveil dans le nouvel Exécutif ?
A priori, rien de tel. Ces supputations gratuites ne peuvent être que médisances. Qui peut l’imaginer ?
La morale suggère, par conséquent, que personne de l’Union Calédonienne ne démissionnera du gouvernement. C’est donc dire à quel point le changement de locataire au perchoir du Congrès est quasiment assuré.
Le reste ne résulterait que d’éléments fortuits. A l’insu d’un plein gré quelconque.