
Il y a déjà eu les exactions sur le quai Ferry et devant l’ancien CHT. Voitures incendiées, vitrines brisées, dégradations de la chaussée. Avec à la clé … une condamnation.
Mais les fauteurs de troubles ont de plus en plus le sentiment qu’ils peuvent agir en toute impunité, avec souvent, quelques raisons.
Voudraient-ils étendre ces emprises dans la capitale ? Celle-ci est déjà la proie quotidienne des voleurs de voitures, des cambrioleurs, des bandes de capuches qui circulent sur les parkings des supermarchés, des SDF qui s’étalent un peu partout, et des insultes racistes.
Alors pourquoi, sous couvert de manifestations soi-disant pacifiques, ne pas tenter de prendre davantage possession de la rue ?
Le comble serait que de telles manifestations soient autorisées à un organisme auteur d’appels à des actions hors la loi, blocages de routes y compris de routes de mines, implications probables dans des actions répréhensibles de toutes sortes.
Face à ces dérives que plus un républicain n’accepte, qui prône encore le gandhisme ? Regarder brûler sa voiture impassible, supporter sans broncher ce racisme actif, c’est l’attitude extraordinairement patiente qu’a adoptée la majorité de la population.
Jusqu’à quand, si l’Etat ne protège pas ses citoyens ?