NOUVELLE-CALÉDONIE
PAS DE VOYAGES AVANT LE 24 OCTOBRE – le gouvernement a prolongé l’arrêté de suspension des vols réguliers internationaux au départ et à destination de la Nouvelle-Calédonie jusqu’au 24 octobre, au lieu du 31 juillet. Le service minimum se poursuit avec du transport de frêt et des passagers français uniquement.
A partir du 1er août, les vols opérés seront de 1 par semaine en provenance de Paris et 3 et direction de Tokyo avec évidemment prolongations possibles, et 1 vol tous les 15 jours vers et en provenance de Sydney.
En dépit d’une simplification pour les départs, des mesures très strictes de protection contre l’introduction du coronavirus seront maintenues. Le dispositif de quarantaine à l’arrivée est évidemment toujours en place.
« CHOOSE NEW CALEDONIA », LE TAPIS ROUGE AUX INVESTISSEURS – Une structure unique a été mise en place au gouvernement avec les provinces Sud et Iles pour offrir un guichet unique et un accompagnement aux investisseurs extérieurs. Elle sera logée à la DAE, et travaillera en lien avec des correspondants provinciaux. Seule la province Nord n’a pas encore adhéré à ce dispositif.
REPORTS DES TEXTES SUR LES EXPORTATIONS DE MINERAI sollicitées par la SLN et Vale, ainsi que du texte instaurant une redevance minière. Le président du gouvernement souhaite obtenir un accord global sur ces mesures alors que les indépendantistes s’opposent aux exportations. Une réunion des exécutifs du territoire ainsi que des « signataires » (GTPS) devrait être programmée pour tenter de trouver un consensus.
MALAISE AU RASSEMBLEMENT où, dans une lettre adressée aux adhérents, Brieuc Frogier et Marie-Laure Ukeiwe, font part d’un malaise au sein du parti, suite notamment à l’alliance avec l’Eveil Océanien et Calédonie Ensemble lors des élections municipales de Paita. Les deux personnalités demandent la réunion d’un congrès pour clarifier les orientations du parti et désigner les responsables. Ils souhaitent la création d’une fédération pour consolider le regroupement de l’Avenir en Confiance, sans pour autant que les partenaires perdent leur identité.
Le président par interim du Rassemblement estime, quant à lui, que la priorité de l’heure est la préparation du référendum et que le congrès devra se dérouler après cette échéance.
SECONDE VICTIME DANS L’ACCIDENT DE PETCHEKARA – Il s’agit d’un bébé de 7 mois qui a perdu la vie à la suite de ses blessures.
CADETS DE LA SÉCURITÉ CIVILE – Ils sont 16 élèves de 4e au Collège d’Apogoti à suivre une formation, et apprendre la culture du risque, de l’engagement, à protéger, alerter et secourir au travers les gestes aux 1er secours.
6 MOIS ET 1 AN FERME POUR LES « TABASSEURS » qui s’en sont pris à un passant en fin de semaine dernière à la baie des citrons. La victime se rendait dans un des établissements, et les voyous l’ont roué de coups pour dérober son téléphone et son porte-monnaie.
POLYNÉSIE FRANÇAISE
Revue de presse – Avec plusieurs surprises aux dernières élections municipales et un scrutin des plus complexes, les élections sénatoriales prévues fin septembre vont probablement donner lieu d’ici là à de nombreux calculs et opérations de séduction envers les grands électeurs. – Tahiti Infos
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WALLIS ET FUTUNA
0 CAS
AUSTRALIE
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NOUVELLE-ZÉLANDE
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ET DANS LE PACIFIQUE
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EN MÉTROPOLE
ET DANS LE MONDE
EDOUARD PHILIPPE DEVIENT LA PERSONNALITÉ PRÉFÉRÉE DES FRANÇAIS – En première ligne pendant la crise sanitaire, l’ex-chef du gouvernement arrache ce titre convoité à l’écologiste Nicolas Hulot, avec des niveaux différents selon les sondages – 43% de Français désireux de le voir exercer plus d’influence dans la vie politique et 56% d’opinions favorables . Nommée à la Culture, Roselyne Bachelot, déjà ministre sous Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy, entre dans le baromètre Ipsos-Le Point en se hissant à la deuxième place (47%). Elle relègue son lointain prédécesseur, Jack Lang, de la deuxième à la septième place (39%).
Édouard Philippe s’élève très haut (78% d’opinions favorables, selon Ipsos) dans le temple politique des sympathisants de droite, dépourvus de leader à deux ans de l’élection présidentielle. Le transfuge des Républicains, de retour à la tête du Havre (Seine-Maritime), obtient son meilleur score parmi les centristes (86%).
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