Atterrissage d’urgence pour un avion d’Air Loyauté, 250 étudiants à rapatrier, Covid-19 à Pékin

NOUVELLE-CALÉDONIE

LES AUTEURS DE VOLS, AGRESSION ET DÉPRADATIONS AU RELAIS DE POINGAM EN MAI CONDAMNÉS À DE LA PRISON FERME
Trois individus avaient opéré un véritable raid sur le Relais de Poingam le 2 mai dernier. Ce samedi, ils étaient arrivés par la mer un peu avant minuit, et s’en étaient pris violemment aux personnels. Coups de pied, jets de bouteille, et pour faire bonne mesure, irruption dans un bungalow ou un couple de touristes se fait copieusement insulter, subit des propos racistes et même des menaces de mort.

Les malfrats avaient cassé tout ce qu’ils pouvaient et s’étaient enfuis avec une cargaison d’alcool. L’un des délinquants était sous le coup d’une condamnation avec sursis …

L’enquête, facilitée par la population et les coutumiers, n’a pas traîné. Les malfrats ont rapidement été arrêtés et placés sous les verrous.

Hier, la Justice a enfin frappé : 2 ans, 1 an et 6 mois de prison ferme. Et on l’espère, sans remise de peine.

Un aéronef d’Air Loyauté, revenant d’Ouvéa avec 7 passagers, a effectué un atterrissage d’urgence à Magenta. Motif : les voyants indiquaient un blocage affectant le train d’atterrissage. Finalement tout s’est bien passé. Il faudra vérifier le système d’alarme.

Il reste 250 étudiants à rapatrier a indiqué Isabelle Champmoreau, membre du gouvernement. 200 d’entre eux sont actuellement isolés dans les hôtels de Nouméa. Les suivants rentreront progressivement sur les vols à venir.

La population invitée à s’associer à l’appel du Général de Gaulle du 18 juin, à l’occasion du 80e anniversaire du célèbre message diffusé par la BBC à Londres. A Nouméa, plusieurs manifestations sont prévues : à la Croix de Lorraine, à Bir Hakeim et au Chateau Hagen par la province Sud.

Mardi 16 juin : aucun nouveau cas sur les 159 tests effectués

En intégral : le Plan de Sauvegarde de l’économie calédonienne du gouvernement calédonien
Cliquer sur l’image pour accéder au contenu

Toutes les mesures qui seront proposées au Congrès

Le Plan de Soutien de l’Etat pour l’économie de la Nouvelle-Calédonie Lire notre article dans noumeaPost.com

POLYNÉSIE FRANÇAISE

Revue de presse –  Nouvelle journée de mobilisation devant les grilles du palais de justice. Les militants et sympathisants du Tavini, mais aussi désormais les agents de la commune de Faa’a, étaient venus soutenir le leader indépendantiste, Oscar Temaru, qui assignait en référé le procureur de la République, Hervé Leroy, pour atteinte à la présomption d’innocence. L’audience a été renvoyée à la semaine prochaine. 
Cliquer sur l’image pour lire l’article de Tahiti Infos

Photo Tahti Infos

TOUTE L’ACTU EN POLYNÉSIE
Cliquer ci dessous pour accéder à Tahiti Infos

WALLIS ET FUTUNA
0 CAS

AUSTRALIE

12 cas supplémentaires en Australie en 24h, et toujours 102 décès liés au Covid-19

TOUTE L’ACTU EN AUSTRALIE
Cliquer ci-dessous pour accéder au site ABC News

NOUVELLE-ZÉLANDE

Le pays a fait état de deux nouveaux cas de coronavirus, ce qui met fin à une période de 25 jours sans aucune nouvelle infection, ont annoncé les autorités sanitaires. Ces deux nouvelles personnes porteuses de la maladie Covid-19 sont récemment arrivées du Royaume-Uni, a déclaré le ministère de la Santé qui a affirmé qu’ils « sont liés ».

TOUTE L’ACTU EN NOUVELLE-ZÉLANDE
ET DANS LE PACIFIQUE
Cliquer ci-dessous pour accéder au site RNZ

EN MÉTROPOLE
ET DANS LE MONDE

La situation est « extrêmement grave » à Pékin

La situation épidémique est « extrêmement grave », a averti un porte-parole de la mairie, alors que plus d’une centaine de personnes ont été contaminées depuis la semaine dernière dans la capitale chinoise par un soudain regain de contagions.

Pékin est engagé dans « une course contre la montre » contre le Covid-19, a-t-il déclaré, alors que la capitale chinoise a porté sa capacité quotidienne de dépistage à plus de 90.000 personnes par jour.

LES TROUBLES À DIJON
La tension monte à Dijon. Pour la quatrième soirée consécutive, dans une ville peu habituée à ce genre de trouble, des dizaines de personnes cagoulées se sont rassemblées lundi 15 juin, dans le quartier sensible des Grésilles. Armées de barres de fer et d’armes de poing, certaines ont tiré en l’air, détruit des caméras de vidéo-protection et incendié poubelles et véhicules.

Vers 20 h 30, 60 gendarmes mobiles, une quarantaine de CRS et des renforts de la brigade anticriminalité (BAC), ainsi que du Raid, sont intervenus afin de mettre fin aux violences. « Une centaine d’opposants » se trouvaient alors face aux forces de l’ordre, a indiqué à l’AFP le préfet de Côte-d’Or, Bernard Schmeltz. 

L’intervention s’est terminée vers 22 h, ne laissant que quelques carcasses calcinées de poubelles et de véhicules dans le quartier redevenu calme, a constaté un journaliste de l’AFP. Quatre personnes ont été interpellées, selon la préfecture.

LA DERNIÈRE DE SIBETH NDIAYE
Certains se demandent encore comment elle peut occuper la fonction de porte parole du gouvernement ! La dernière de Sibeth Ndiaye, ou plutôt, les dernières : d’une part, elle « nuance » les propos du président de la République à propos des statues qui ne seront pas déboulonnées, et d’autre part, elle appelle à rouvrir le débat sur les statistiques ethniques.

Le débat que souhaitait rouvrir la porte-parole du gouvernement aura fait long feu. Dès le lendemain, ses deux collègues, les ministres Bruno Le Maire et Gérald Darmanin, n’ont pas fait mystères des défaveurs que leur attirait cet instrument. Là où Sibeth Ndiaye y voyait un moyen de lutter contre une « forme de racisme impensé » et de « réconcilier deux rives de notre société », Bruno Le Maire y a au contraire vu le risque d’« abîmer un des biens les plus précieux qui rassemble la nation française, cet universalisme républicain ». Son acolyte de Bercy Gérald Darmanin, lui, s’est dit « plutôt favorable à la proposition de Julien Denormandie (ministre de la Ville et du Logement), qui évoquait des statistiques par géographie ». 

Les souhaits de Sibeth Ndiaye auront fini d’être enterrés par le président lui-même. Celui qui, la veille, condamnait les « séparatistes » en visant sans les nommer certains manifestants dénonçant les violences et le racisme dans la police,a indiqué lundi à ses conseillers qu’il ne souhaitait « pas ouvrir à ce stade » le débat sur les statistiques ethniques. Fermez le ban.

FABULEUX : VISIONNEZ CI-DESSUS LE PARCOURS DU COVID-19 AU MICROSCOPE

SUIVRE LA CRISE DANS LE MONDE EN DIRECT