Franz-Olivier Giesbert n’y va pas avec le dos de la cuillère. Dans son éditorial du 26 mai au Point, il fustige la CGT. Extraits décoiffants.
« L’Italie » … « a une chance inouie par rapport à nous : elle n’a pas la CGT. Un syndicat en perdition qui fait campagne contre les « violences policières » en diffusant des images ignobles. Une organisation qui entend infliger à l’économie le traitement qui a ruiné tant d’entreprises françaises et qu’a si bien résumé l’un de nos grands philosophes nationaux : « Donnez leur le Sahara ; dans cinq ans, il leur faudra acheter du sable ailleurs » (Coluche). La preuve par le Venezuela, qui fut longtemps le modèle d’une certaine gauche. »
« Repoussant toujours plus loin les limites du ridicule, la CGT et le mouvement anti-Loi Travail incarnent ce qu’il y a de pire dans « le mal français », notamment le refus de la démocratie et l’incantation « révolutionnaire » … »
Devenue une secte apocalyptique, la CGT fait payer son agonie aux Français en les prenant tous en otages. Mais il n’y a pas lieu de désespérer : quelle que soit l’issue du conflit, la centrale aura fait, à cette occasion, un pas de plus vers la tombe. Puisse-t-on ne pas attendre trop longtemps avant de fermer le caveau. »