MISE EN VEILLE DE L’USINE DU SUD EN 2016 Possibilité avancée par Crédit Suisse selon Outre Mer 1ère

 

imagesInfo ou Intox ? Le Crédit suisse est un prestataire mondial de services financiers, dont le siège principal est à Zurich. Selon Alain Jeannin, dans une information publiée dans Outre Mer 1ère, les analystes du Crédit Suisse privilégient l’hypothèse de « la mise en veille » de l’usine du sud en 2016. Explications.

Il ne s’agit donc pas d’une information provenant de l’industriel. Celui-ci doit néanmoins affronter des difficultés considérables résultant de la crise des matières premières auxquelles viennent de s’ajouter les conséquences de ce que est présenté comme la plus grande catastrophe environnementale d’origine industrielle de l’histoire du Brésil. Cette dernière s’est produite le jeudi 5 novembre à la mine de fer Germano, exploitée par l’entreprise Samarco, filiale de BHP Billiton et Vale.

Dans le domaine du nickel, si les usines de Sudbury au Canada et d’Onca Puma au Brésil ne sont pas en cause, celle de Nouvelle-Calédonie serait en balance «  en raison de ses coûts de production très élevés et de flux de trésorerie négatifs ».

 Selon la banque helvétique, le marché du nickel doit être renforcé par une réduction de production. C’est dans ce processus qu’elle évoque plusieurs sites de production, en Australie et celui de Vale en Calédonie.